De la nature des choses

création 2026
pour l’espace public

 

Une pièce avec ses deux faces qui se traversent comme l’exploration de nos pôles magnétiques.
Un morceau d’espace-temps avec ses plis, ses revers, ses trous de verres, ses anamorphoses, ses reflets et ses faux semblants.
Une pièce chorégraphique où le temps se contracte, se dilate jusqu’à devenir illusion perceptive, illusoire, ou présent absolu.

”Quel sont les enjeux physiques qui magnétisent et déterminent la relation d’un corps avec un autre ? Si l’atome de la physique moderne échappe aux représentations imagées, j’aimerais de la même manière rendre perceptible l’invisible à travers ses lignes de forces, ces rayonnements, ses rebonds.”

Après avoir créé des spectacles dans des scénographies circulaires immersives et pour ne pas y enfermer la signature de la Cie, cette prochaine création serra créée pour l’espace publique.

Les enjeux de cette création reposent sur :
- un nouveau dogme, pour changer en partie de questions, tout en continuant à en approfondir d’autres comme celle du circulaire.
- un duo ou trio chorégraphique.
- sur des enjeux physique entre les interprètes et l’espace de représentation, vers relation physique entre des corps vibratoires où les éléments questionneront l’espace, le vide, les trous noirs, les secrets de la matières.
- un format relativement léger techniquement (en tout cas, plus que les deux précédentes créations…).
- un espace de représentation comme un agrès de cirque qui ne soit pas un agrès, un objet qui ne soit pas un objet, une matière pure qui fasse résonner l’espace dans lequel il s’inscrit,
– des matières qui procèdent à des métamorphoses viscérales et proposent des enjeux physiques menant à la contamination d’espaces-corps, aux glissements visqueux et attractifs des masses, ainsi qu’à leur catharsis.