Un moment d’anticipation Post Disaster ?
Entrez en un espace-métamorphose où l’organisation sociale liée à l’espace se révèlent ne jamais être la même, toujours en course d’une nouvelle lecture re-contextualisée.
Vous êtes venu voir, observer … en fait, vous allez être confronté à leur réalité, leurs incertitudes, leurs peurs, leurs espoirs. Tout semble indiquer que ”Dans le l’oeil du cyclone” se déroule après … dans une ère post-industrielle en huis-clos..
Des silhouettes cherchent une place, tant spatialement que hiérarchiquement, ou socialement.
La logique tient des règles de probabilité endurées proche de l’absurde. Ils sont juste là, et s’il y a suffisamment de compréhensibilité pour qu’une question arrive encore à se poser, la question centrale serrait bien liée à une énorme « déconstruction » récente de leur société. Tout tourne pour ces sujets autour du besoin d’y reconstruire un espace de communication, de vie en dehors de ce qui se passe à l’extérieur. Le mot y aura-t-il sa place ? Ou est-ce plutôt un langage purement gestuel qu’il faudra réinventer?
Une tragédie de notre siècle, un mythe contemporain, un conte désenchanté ou désabusé ?
Une oeuvre générationnelle inspirée par ce qui a marqué notre génération, partageant au public le besoin de s’identifier, de croire, ce à quoi les minorités mises en marges ont porté utopiquement, des valeurs (résistance, contre culture) qui sont, ou questionnent, ou deviennent les nôtres.
Juste être vivant ..qu’a en croire à l’intensité, à la jouissance, à la fougue…C’est quand on a plus rien que la fragilité de la vie apparait en fleur. On sent à ce moment là qu’on lui appartient, plus qu’elle nous appartient.